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Jean-Luc le Druide n'est pas druide.

C'est moi qui l'ai baptisé ainsi, j'aime bien donner des surnoms à mes amis.

Quand on vit beaucoup dans la nature, cela vient tout naturellement..

Oui, Jean-Luc le Druide n'est pas druide, mais on ne sait jamais...
 

Jean-Luc et son épée de guérison en cristal de roche

 

Jean-Luc le Druide se présente :

Bonjour à tous.

Une petite présentation philosophique.

Je suis une poussière dans l’univers, ou, simplement, un occidental, européen avant tout, compagnon de l’univers et des autres ethnies. La légitimité de ce que je fais : Je suis un chercheur des plus honnêtes, en quête de racines énergétiques, c’est tout simplement « ma conquête personnelle du Graal ».

 

Je n’ai aucune prétention, je ne suis pas affilié à quoi que ce soit, je n’ai aucune bannière, je ne fais partie d’aucun clan. Je cherche la lumière et je sais que j’y arriverai ; chaque jour, une nouvelle porte s’ouvre devant moi pour laisser passer un rayon de cette lumière. Je le saisis et il me réchauffe le cœur et l’esprit. Mon âme est plus sereine, je m’ouvre au monde, à la nature et je me laisse porter par le temps.

 

Mes pensées sont la nature absolue, tous les sons sont prières. Dans la nature, je rentre en méditation, jusqu’à ne faire plus qu’un, avec la pierre dont j’entends battre le cœur, l’herbe qui murmure ses secrets magiques et les arbres, ces grands sages qui me revitalisent.

 

Je suis libre, je vois le ciel, le soleil me réchauffe, je ressens les énergies de la terre, le parfum des feuillages et des fleurs, je sens la douce caresse du vent. Un champ, un arbre, une forêt ou un rocher seront toujours un temple ou une cathédrale pour moi. C’est par les fleurs, les arbres et les animaux qui peuplent mon temple, que la nature me parle et m’ouvre le grand grimoire de la vie.

 

« Le présent est le cadeau de la vie », parole de Huanghi, l’empereur jaune qui vécut 2700 ans avant JC. Je possède comme valeur de vie : la sagesse et la patience, ces deux compagnes sont mes seuls et uniques outils, pouvant m’aider à ne pas m’égarer dans le long parcours initiatique. Je défends mon âme et l’esprit des mes ancêtres.

 

Je ne vous demande pas de me suivre à cent pour cent. A notre époque, la plupart des personnes sont complètement déconnectées de cette antique science et sagesse, et se font petit à petit absorber par de fausses valeurs de matérialisme cartésien.

 

Comme tout un chacun, avec forces, faiblesses, doutes et certitudes, j’essaye d’avancer sincèrement sur la voie de mes ancêtres. La solitude n’existe pas sur ce chemin, et souvent, il n’y a pas qu’une seule voie. Dans le respect de la loi naturelle de la diversité de l’univers, il est indispensable pour l’équilibre que chacun exprime une sensibilité différente. Pourquoi ces querelles de groupes sur fond de pouvoir, de légitimité et d’égo ? Ne devons-nous pas travailler dans le même esprit et respecter nos sensibilités ? Sommes-nous coupables aujourd’hui, malgré nos divergences, de faire revivre l’essence de nos ancêtres, au-delà de conflits d’intérêt égotique et de jugement de valeurs à l’emporte-pièce ?

 

Inutile d’aller plonger dans n’importe quelle culture autre -ces cultures qui ne sont pas les nôtres-. Nous pouvons les admirer, voire, échanger avec elles, mais surtout pas les copier. Unis dans le respect de la différence. Est-ce possible ? Sommes-nous à ce point des zombies, imprégnés et traumatisés par notre culture judéo-chrétienne, pour devoir nous échapper vers ces autres philosophies venues du soleil levant ?

 

Je rêve d’une communauté qui vive libre, ressente, émette, sans être obligée de dupliquer tel ou tel modèle type, dans les pires dérivations de son âme. Il ne faut pas voir à travers ce lignes une quelconque provocation, mais seulement un cri de douleur qui me vient du cœur et blesse mon âme.

 

Je reste convaincu qu’il est possible de se connecter à la source. Suis-je idéaliste ou fou pour croire à de telles choses ? Je m’interroge parfois, en voyant surgir tous ces « groupes de bien-être », dirigés par des gens qui, souvent, ne sont pas en accord avec eux-mêmes… mais plutôt « intelligents dans la manipulation et servant leurs propres intérêts »…

 

Je me résous à contempler, caché derrière mon arbre, ce spectacle affligeant d’une amorce de bien-être, sabordée de l’intérieur et étouffée par ceux-là mêmes qui enseignent à partir de cultures mal adaptées à notre propre hygiène de vie occidentale. L’être moderne, après avoir renié ses racines, s’immole sur l’autel de la sainte mère culture venue tout droit du soleil levant, dans un lent suicide intérieur. Il se fourvoie en croyant se libérer des traditions de ses parents, en fait de ses origines.

 

Dans un univers factice, l’être devient adorateur inconditionnel du rien, ou si peu de choses… Il devient athée à ses traditions et se réfugie dans des cultures aveugles à sa propre naissance, reléguant l’intuition et la foi de la terre mère au rang d’antiquités inutiles. Certains illuminés, mal éclairés, s’abreuvent à des sources soit-disant pures, avec de nouveaux « chamanes », ou de nouveaux « guérisseurs de l’âme », dont la légitimité transite par de nouveaux « outils miracles », de nouvelles « voies de prière », à travers des « groupes de pensées » ou autres mélanges détonants imprégnés de cultures différentes. Se tourner vers ce sens caché ou inconnu, c’est nager à contre-courant par rapport à nos origines, c’est se soumettre à un divin, mais non au Divin.

 

La vie est un mouvement perpétuel, à chacun de prendre conscience de sa place et de suivre son itinéraire, non dans un espace limité, mais dans l’infinité de l’univers, qui passe par un cheminement évolutif vers l’acceptation de soi, une quête d’harmonie globale, sincère et sans préjugés.

 

C’est dans cet esprit que j’aborde mes recherches, sans chercher à prouver quoi que ce soit, ni prétendre découvrir un résultat définitif. Je me suis employé à libérer mon intuition, à vivre cette expérience de travail intérieur et devenir acteur et non simple spectateur. Aujourd’hui, avec moi, vous êtes libres. Je vous demande d’être attentifs à vos ressentis, de vivre votre intuition, de libérer votre intérieur, de le laisser parler, d’écouter votre vrai moi.

 

Je ne suis pas un maître. Je vais simplement essayer de vous guider sur le chemin de notre histoire régionale et énergétique, car les deux sont intimement liés. Nous n’avons que deux maîtres vous et moi : notre univers cosmique et notre mère la terre, sur laquelle nous marchons. Les deux sont réunis dans un ensemble.

 

L’humain est un enfant du cosmos, né d’une nébuleuse spirale, car son corps est composé en moyenne partie d’eau. Par une prodigieuse interaction, la matière fait avancer l’esprit et c’est l’esprit qui sanctifie la matière. Donc, la matière nourrit et l’esprit donne sens. Cela s’appelle simplement l’harmonie. Cette douce alliance fait que, sur notre Mère la Terre ou vers notre Père cosmique, nous pouvons approcher le Divin qui est en nous.

 

« qu’est-ce que la vie ? C’est l’éclat d’une luciole dans la nuit, C’est le souffle d’un bison en hiver, C’est la petite ombre qui court dans l’herbe et se perd au coucher de soleil. » Crowfoot, chef des Blackfeet.

 

Jean-Luc le Druide – Darney 1/11/2008

 

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Tag(s) : #Jean-Luc le Druide, #Rêve - mystère et réalité
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